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Le porno est-il bon pour la libido ?

La consommation de la pornographie dans nos sociétés atteint de grandes proportions. Si pour certains cela contribue à l’épanouissement sexuel, d’autres trouvent que c’est nuisible. La question qui mérite d’être posée est la suivante : le porno est-il bon pour la libido ? Esquisse de réponse dans cet article.

Possibilité de booster sa libido en regardant du porno

Le fait de regarder du porno régulièrement peut permettre à une personne de booster sa libido. Mais il est bon de noter que les hommes et les femmes n’ont pas la même façon d’appréhender l’excitation. Ils ne sont pas attirés par les mêmes stimuli. Plus jeune, l’homme expérimente la pulsion sexuelle à partir de la manipulation de son pénis. Le désir et le plaisir sont associés évidemment à l’information visuelle qu’il a de son sexe. Par contre, la petite fille ne trouve pas forcément l’excitation en s’appuyant sur des éléments visuels.

C’est une réalité, les hommes ont plus tendance à lier l’excitation sexuelle à la vue, alors que les femmes préfèrent plus l’imaginaire. Cela explique pourquoi c’est la gent masculine qui s’intéresse plus à la pornographie. Et beaucoup sont les hommes qui regardent des films pour adultes pour s’exciter et renforcer leur libido. Ces derniers se disent même satisfaits, dans la majorité des cas, d’obtenir un bon résultat.

Il est bon de noter que le fait de regarder du porno peut aussi provoquer de l’excitation chez les femmes, même si elles ne sont pas nombreuses à y accorder de l’intérêt.

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Recours systématique au porno pour booster sa libido : à proscrire !

Ce qu’il ne faut surtout pas faire est de recourir systématiquement au porno afin de booster sa libido. Car cela finit par créer une addiction à l’image. Du coup, il peut arriver que tant que l’homme accroc au porno n’y a pas recours, il est impossible pour ce dernier d’avoir de la libido.

Regarder des films à caractère pornographique peut être envisageable de temps à autre. Ce type de production peut même permettre au couple de trouver de nouvelles idées pour enrichir sa sexualité. Ce qui est recommandé dans ce cas est de visionner du porno à deux. Ici, il n’est pas question de se baser sur les scènes de sexe pour booster la libido de qui que ce soit. Le but est de s’inspirer de ce qui est produit à l’écran pour mettre du piment dans sa sexualité. Le porno vu sous cet angle ferait plus de bien que de mal. Ce n’est cependant pas le cas quand un homme mise dessus juste pour réveiller sa libido.

Quand on est face à une telle situation, où un homme ne compte que sur le porno pour avoir de la libido, il faut chercher à comprendre pourquoi la libido de ce dernier ne peut pas s’éveiller d’une autre façon. La pornographie ne devrait pas être au centre de la réflexion. Ce qui compte le plus est de réfléchir sur le fait que la pulsion sexuelle de l’individu concerné soit portée sur une caricature de la sexualité et pourquoi il ne vit pas cette pulsion avec la personne pour qui il a du sentiment et ressent de l’émotion. En allant systématiquement vers la pornographie pour éveiller sa libido, l’homme se rend compte de sa difficulté à associer excitation et plaisir de la rencontre, ainsi que la liberté des émotions et la liberté des sentiments.

S’il y a difficulté dans la relation et que c’est la pornographie qui est le seul moyen d’excitation, il y a un grand risque que la dépendance à l’image mette une distance entre l’homme et sa partenaire, entre les attentes de ce dernier et ses possibilités. Aussi, plus l’excitation sexuelle est basée sur le modèle pornographique, moins elle sera en phase avec la réalité de la rencontre avec une femme. En outre, il y a plus d’angoisse de performance et le doute peut s’installer en ce qui concerne la virilité de l’homme.

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La consommation excessive du porno en cause dans la baisse du désir sexuel

Selon certains spécialistes de la sexualité, la consommation excessive de la pornographie engendre une baisse du désir. Ils expliquent cela en mettant en avant le fait qu’une hyper stimulation de dopamine provoque une perte de l’envie.

La dopamine est une molécule qui active le plaisir sexuel. Le hic est que lorsque les pics de dopamine sont trop fréquents, il devient difficile pour le cerveau de répondre aux signaux qu’une véritable relation sexuelle déclenche. Comprenez donc qu’en visionnant fréquemment du contenu pornographique, le désir sexuel diminue. Un homme qui renforce sa libido en regardant du X doit songer à réduire sa fréquence de visionnage. Selon des sexologues, à cette fréquence se greffe la teneur des images vues. Quand l’utilisation du porno est régulière, l’individu est confronté à des images qui sont souvent de plus en plus stimulantes. Et si après il n’a pas de telles images sous les yeux, être excité aurait l’air d’un véritable parcours du combattant !

Comprenez qu’il peut bel et bien exister chez l’homme une attraction pour des images pornos toujours plus fortes. Mais cette stimulation visuelle peut être un véritable problème à la longue.

L’abus du porno pouvant engendrer des troubles de l’érection selon une étude

En se fiant aux conclusions d’une étude scientifique, la consommation abusive du porno peut avoir des conséquences négatives sur la sexualité masculine. Les travaux réalisés ont porté sur plus de 300 personnes âgées entre 20 et 40 ans. Les ¾ de celles-ci consommaient de la pornographie au moins une fois par semaine. Après avoir répondu à un questionnaire, les chercheurs ont découvert que 27 % de ces personnes qui regardent du porno présentent des troubles de l’érection, et même chez les plus jeunes. Et ce taux descend à 22 % chez les hommes qui ont des rapports sexuels sans regarder de pornographie. Mais ce taux passe à 31 % quand il s’agit d’hommes qui regardent du porno au moment des rapports sexuels.

Si on s’en tient à cette étude, regarder du porno régulièrement est à déconseiller aux hommes. Selon un des auteurs de cette enquête, le sevrage pornographique serait très souvent la première recommandation faite aux hommes de moins de 40 ans qui souffrent de troubles de l’érection.

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Comment retarder l’éjaculation quand on est trop excité ?

Sachez que l’orgasme masculin et l’orgasme féminin ne surviennent pas toujours de la même façon et au même moment. Pour ne pas frustrer sa partenaire, l’homme gagne à apprendre à retarder l’éjaculation. Il est bon de noter que l’éjaculation rapide n’est pas forcément due à un problème de santé. Lorsqu’un homme est trop excité, c’est possible qu’il éjacule vite, ce qui n’est pas bien vu en général par la gent féminine. Il existe heureusement des techniques pouvant l’aider à se retenir.

Savoir gérer son plaisir

Si vous êtes trop excité, cherchez à gérer votre plaisir afin de retarder l’éjaculation. Sachez que lorsque la verge est introduite dans le vagin et que des mouvements de va-et-vient sont exécutés, il se produit une augmentation de l’excitation et une hausse du plaisir. À un certain niveau de l’excitation, le plaisir est à son paroxysme. Et cela aboutit à l’orgasme qui est accompagné d’éjaculation. Ce que vous devez faire est d’apprendre à repérer le point critique de la montée vers l’orgasme, le fameux point de difficile retour.

Quand l’orgasme est imminent, il est tout de même possible de le retarder. L’homme doit simplement arrêter ses mouvements. Notez que lorsque l’orgasme est imminent, le plaisir est aigu et part de la racine de la verge. Si vous sentez que vous n’êtes pas loin d’éjaculer, suspendez tout mouvement et retirez la verge de la moitié de sa longueur. Ensuite, contractez les muscles du périnée, serrez les fesses et l’anus et fermez la vessie, comme si vous voulez vous retenir d’uriner. Une attente de quelques minutes est nécessaire pour faire tomber l’excitation. Après, l’acte sexuel peut reprendre.

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Contrôler sa respiration et son excitation cérébrale pour ne pas éjaculer

Une technique intéressante pour retarder l’éjaculation est de contrôler sa respiration. Ce que l’homme doit faire est de se concentrer sur sa respiration au moment où il atteint le point de retour difficile. L’astuce est d’inspirer profondément par le nez de sorte à remplir d’air l’abdomen jusqu’au bas-ventre. Après, il faut bloquer l’inspiration par le blocage de la glotte, et ce, durant quelques secondes. Ensuite, il est nécessaire de relâcher brusquement en expirant par la bouche.

Il est recommandé à la gent masculine de s’entrainer à cet exercice en dehors des relations sexuelles. Par exemple, l’homme peut apprendre à stopper son jet d’urine, puis le relancer en le propulsant au maximum et ensuite l’interrompre à nouveau. S’il parvient à le réaliser au moins 5 ou 6 fois en ne faisant pas trop d’effort, c’est sûr qu’il obtiendra le résultat escompté.

Il est également possible de retarder l’éjaculation en réduisant son excitation cérébrale. Le principe est d’éviter de penser à l’instant T, à ce qui se passe, en se bourrant la tête de choses qui n’ont rien à voir avec le sexe. Pour que ça marche, l’homme doit être dans ce plan maîtrise pendant 100 secondes au moins.

Allonger les préliminaires

Il peut être ingénieux de retarder l’éjaculation en allongeant les préliminaires. Si vous êtes un homme qui a des difficultés à tenir sur la durée, ayez la bonne idée de trainer lors de la phase des préliminaires pour ne pénétrer votre partenaire qu’au dernier moment. Attendez que votre excitation soit maximale avant la pénétration. Faites en sorte que les caresses durent, de même que les baisers. La masturbation mutuelle peut aussi être pratiquée.

Sachez que la pénétration n’est pas un passage obligé pour atteindre le plaisir. L’envisager seulement à la dernière minute, quand tout le monde a pris son pied, peut éviter certaines frustrations.

Varier les positions

Une autre astuce à ne pas négliger pour retarder l’éjaculation est de varier les positions sexuelles. Notez que certaines positions donnent plus de plaisir que d’autres. Il est important pour l’homme de savoir identifier les positions qui ont plus d’effet sur lui. Ainsi, il veillera à ne pas demeurer longtemps dans la mise en application de celles-ci. Les jours où l’excitation est à son comble, il est mieux pour l’homme d’éviter carrément les positions qui le mettent vite en « transe ». L’idéal est de varier les postures, ce qui permet aussi de varier les plaisirs. Aussi, entre deux positions, il est bon de marquer une pause afin de retenir l’éjaculation.

Mettre en pratique la méthode « stop and go »

À partir de la méthode « stop and go », l’homme peut retarder l’éjaculation. Pour la mettre en pratique, il doit inviter sa partenaire à le masturber jusqu’à ce qu’il soit au bord de l’éjaculation. Et là, la femme arrête soudainement et attend que l’excitation retombe un peu. Ensuite, la masturbation reprend. Il est recommandé de fonctionner ainsi pendant 5 min, puis 10 min et enfin 15 min. Ensuite, il faut remplacer la masturbation par la pénétration et reprendre l’apprentissage. C’est au bout de 3 mois qu’on peut obtenir de bons résultats, en veillant à pratiquer la méthode quotidiennement.

Le stop and go ressemble un peu à la technique du « squeezing » qui est mise au point par des sexologues. Le principe est que la femme doit masturber son partenaire jusqu’à ce que l’éjaculation soit imminente. Ensuite, il est nécessaire de presser le gland pendant quelques secondes, afin que le besoin d’éjaculer disparaisse. Il est conseillé de recommencer jusqu’à pouvoir faire l’exercice pendant 15 minutes. Après, place à la pénétration en fonctionnant sur le même principe.

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Autres méthodes pour retarder l’éjaculation

Pour retarder l’éjaculation, une autre méthode pouvant être mise en application est une stratégie à deux. L’implication de la femme est donc indispensable. Elle doit reconnaître les signes de l’arrivée imminente de l’orgasme de son partenaire, comme une respiration saccadée et une accélération des mouvements. Ainsi, elle pourra entrer en jeu en stoppant aussitôt les mouvements et en se mettant sur l’homme dans la position d’Andromaque. Mais elle doit se soulever légèrement afin de ne garder que la moitié de la verge de son partenaire dans son vagin.

Une autre méthode pour retarder l’éjaculation est de faire une pénétration sans mouvements. Pour cela, l’homme s’introduit en sa partenaire et ne fait pas de mouvements. Ils se donnent simplement du plaisir en s’embrassant et en se caressant. Et au fur et à mesure, ils peuvent augmenter le rythme des va-et-vient.

Il est possible aussi de mettre en application l’exercice de Kegel dans le but de retarder l’éjaculation. Celui-ci permet de muscler le périnée afin de contrôler les érections fortes et de durer plus longtemps lors de l’acte sexuel en retardant l’éjaculation.

À quelle fréquence faire l’amour ?

Certaines personnes estiment qu’il est anormal de trop faire l’amour, car cela peut affaiblir. D’autres vont jusqu’à dire qu’on peut développer des pathologies en ayant régulièrement des rapports sexuels. Quelle est donc la bonne fréquence pour faire l’amour ? La question mérite d’être posée et a même occasionné diverses études.

3 rapports sexuels par semaine, la recommandation de certains médecins

Dans plusieurs manuels élaborés par des médecins, il est recommandé d’avoir 3 rapports sexuels par semaine. Pour eux, c’est un rythme normal assurant l’épanouissement du couple.

Mais, certains estiment que l’idée de faire 3 fois l’amour par semaine est une approche machiste mise en avant par les spécialistes de la prostate. Ces derniers auraient constaté que cette fréquence de rapports sexuels engendre moins de problèmes au niveau de la prostate.

D’autres spécialistes estiment que le bon rythme dépend du couple, des envies manifestées par les deux partenaires. En vivant ensemble pendant un moment, ils finissent par trouver un compromis sur la fréquence à suivre pour faire l’amour.

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Faire l’amour une fois par semaine, une fréquence normale selon une étude

Les habitudes sexuelles des Américains ont fait l’objet d’une étude récente. Il ressort de celle-ci que les adultes avaient 9 fois plus de relations sexuelles au début des années 90 qu’aujourd’hui. Cette situation se justifie par le fait que le nombre de célibataires est en hausse. Aussi, on peut l’expliquer par le ralentissement des rapports intimes chez les couples, mariés ou pas. L’étude révèle qu’en moyenne, les Américains qui sont dans la vingtaine font l’amour 80 fois par an, tandis que les rapports sexuels de ceux de la soixantaine diminuent de trois quarts.

En conclusion, les auteurs de cette étude estiment qu’un couple serait pleinement épanoui et heureux s’il a 54 rapports sexuels par année, ce qui équivaut à 1 rapport sexuel par semaine. Ils indiquent également que ce n’est pas une nécessité pour les partenaires d’avoir des rapprochements plus d’une fois par semaine pour que des effets positifs soient remarqués sur la santé de leur couple.

Mais les auteurs de cette étude ont tenu à rappeler que tout dépend des personnes qui constituent le couple. Ils avancent qu’il est plus intéressant pour le couple de discuter ouvertement sur le sujet, avec ou pas à leurs côtés un professionnel, que de s’en tenir aux statistiques.

Suivre une fréquence selon l’âge

Selon d’autres chercheurs, la fréquence à suivre pour faire l’amour dépend de l’âge. Ils en sont arrivés à cette conclusion après avoir fait une étude scientifique sur le sexe, la reproduction et aussi la fréquence des rapports sexuels par an. Ils avancent que le bon rythme à respecter varie en fonction de l’âge des couples.

Ainsi, entre 18 ans et 29 ans, les chercheurs établissent que la moyenne annuelle du nombre de rapports sexuels est de112. Cela équivaut à faire l’amour un peu plus de 2 fois par semaine. Par cette étude, on se rend compte que cette tranche d’âge est la plus active sur le plan sexuel, ce qui est compréhensif puisque les individus de 18 ans à 29 ans sont assez énergiques en général.

Dans la tranche d’âge allant de 30 ans à 39 ans, on constate une vie sexuelle active, avec une cadence qui finit par diminuer. En fait, dans cette fourchette d’âge, les individus ont plus la tête à fonder une famille et sont plus préoccupés par l’activité professionnelle. Ainsi, ils ne sont pas trop focus sur les rapports sexuels. L’étude révèle que les couples mariés de cette tranche d’âge font l’amour en moyenne 86 fois au cours de l’année. Elle a toutefois montré que le plaisir individuel est plus important que chez les personnes de la jeune génération.

Quant à la tranche d’âge allant de 40 ans à 49 ans, le constat fait est que le rythme de l’activité sexuelle diminue sensiblement, par rapport à la fréquence de la tranche précédente. De 86 fois annuellement, on passe à 69.

Mais il est important de comprendre que les chiffres donnés ne sont que des moyennes calculées sur la base des confessions des participants à l’étude. Ce ne sont que de simples informations qui ne doivent pas forcément dicter votre vie sexuelle. Ce qui est bon chez l’autre peut ne pas vous être favorable. Selon certains sexologues, la quantité ne doit pas primer, mais plutôt la qualité des rapports sexuels. Aussi, ils tiennent à rassurer les couples sur le fait qu’il n’existe pas une bonne fréquence universelle pour faire l’amour. Il revient à chacun de trouver la sienne.

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À quel moment parle-t-on d’addiction au sexe et de comportement sexuel maladif ?

Une personne peut développer une addiction au sexe. Toutefois, il est difficile de dire clairement à quel moment on vit une telle situation. Même la médecine a du mal à indiquer avec précision à quel moment l’addiction au sexe est une réalité. Dans le fond, cela dépend du ou de la partenaire.

On ne peut pas parler d’addiction au sexe si un homme qui manifeste toujours l’envie de faire l’amour 4 fois par jour rencontre une femme qui manifeste aussi l’envie de faire l’amour 4 fois par jour. Les deux s’entendront bien et il n’y aura pas de problème. Par contre, les choses se compliquent lorsqu’un homme qui a envie d’avoir des rapports sexuels 4 fois par jour vit, par exemple, avec une femme qui ne veut pas plus de deux rapports sexuels dans la semaine.

Aussi, le sexe peut devenir une maladie. C’est ce qui arrive quand on perd le contrôle de son comportement sexuel. Une personne peut avoir une attitude sexuelle maladive avec sa partenaire ou en multipliant les aventures à un rythme élevé. On trouve aussi des cas d’individus accros à la pornographie ou aux pratiques solitaires, ou aux deux en même temps. Quand la situation est grave, les personnes concernées ne parviennent pas à gérer leur vie sentimentale ou professionnelle. Selon les médecins, ce problème touche entre 3 % et 6 % de la population.

Il est bon de noter que ce ne sont pas les hommes seulement qui manifestent une addiction au sexe. Les femmes en souffrent aussi, même si on en parle moins.

Érection involontaire : les solutions pour l’éviter

L’érection involontaire pourrait être perçue comme quelque chose de positif pour beaucoup d’hommes. Pourtant, dans de multiples situations, c’est une gêne qui n’est pas facile à accepter. Les hommes font face à plusieurs cas différents avec des érections de toutes sortes. On retrouve l’érection molle qui s’accompagne d’un trouble de l’érection, l’absence d’érection ou encore les hommes qui souffrent d’impuissance. Vous l’aurez compris : l’érection est difficile à dompter !

Comment mesurer son pénis ?

La taille du sexe d’un homme est un sujet compliqué. Les hommes sont (très) nombreux à être complexés par la taille de leur pénis. Est-ce qu’il est gros ? Est-ce qu’il est long ? Est-ce qu’il est « dans la norme » pour apporter du plaisir à sa femme ?